Un palmier
Contrairement à leur réputation, ils ne sont pas spécialement fragiles. Ce qu’ils détestent ? La sécheresse, qui fait jaunir leurs palmes vernissées, et les brusques changements de température. Un petit séjour sur le balcon l’été les ravit, mais ce n’est pas obligatoire. Dans la famille « facile à vivre », optez pour l’Areca (le plus courant en appartement) ou pour le Phoenix rubellini (palmier-dattier), qui prennent rapidement de l’envergure.
Un ficus lyrata
Très en vogue sur les comptes Instagram des « plant lovers » les plus branchés, le « figuier-lyre » – ou Ficus Lyrata – est devenu, du coup, plus facile à dénicher. Ce qui a fait son succès ? Ses feuilles spectaculaires (jusqu’à 40 cm de long !) et charnues, d’un vert profond, dont la forme rappelle l’instrument en question. Un vrai chef d’œuvre de la nature, à ne pas laisser s’empoussiérer bien sûr !
Un bananier
Cette plante tropicale sans tronc – elle est considérée comme « la plus grande herbe du monde » – développe en revanche des feuilles immenses et très graphiques, aux nervures élégantes. Le bananier se plait aussi en intérieur, si on lui offre pas mal de lumière (mais pas de soleil direct) et des petites séances de brumisateur régulières, pour lui rappeler l’humidité de son habitat naturel. En revanche, ne comptez pas trop sur les bananes, à moins de pousser le chauffage à fond, ce qui ne serait pas très écolo !
Un olivier
Jetez un œil aux revues de déco ou baladez vous dans les lobbies d’hôtel chic : vous constaterez que l’olivier « indoor » est LA tendance du moment. Sans doute parce que son feuillage d’un vert argenté très subtil, et son port sophistiqué, tranchent avec l’exubérance de l’esthétique « urban jungle ». Aurait-il une longueur d’avance ? Orienté au Sud, près d’une fenêtre, il vous tiendra compagnie de longues années. Mais, sachez-le, au bout de 8 à 10 ans, il faudra lui trouver un jardin d’accueil…